À l’heure où nombre de Français manifestent de plus en plus le désir de se rapprocher de la nature, revendiquent une alimentation saine et se détournent autant que possible des traitements issus de l’industrie pharmaceutique, une multitude de médecines alternatives sont redécouvertes ou émergent, et font leurs preuves.
Hypnose, acupuncture, thérapies manuelles telles que la chiropraxie, l’ostéopathie, l’ayurveda, ou encore luminothérapie, médecine traditionnelle chinoise, naturopathie, aromathérapie, yoga, kinésiologie…, nombreuses sont les pratiques dites aussi parallèles qui séduisent les Français malgré l’absence ou le faible remboursement par la sécurité sociale, comme c’est le cas pour l’homéopathie par exemple.
Aussi, les assurances complémentaires santé, communément appelées les mutuelles santé, introduisent presque toutes aujourd’hui dans leurs contrats les plus complets des garanties remboursant, dans certaines limites, les frais relatifs aux médecines douces. Ces limites sont le nombre maximum de séances annuelles prises en charge et la somme forfaitaire de remboursement par séance, quelle que soit la discipline.
Lorsqu’il s’agit de choisir une mutuelle, ou d’en changer, il est difficile de s’y retrouver, tant les organismes sont nombreux. Or une autre tendance est en vogue aujourd’hui, au bénéfice des consommateurs parce qu’elle fait jouer la concurrence, celle des comparateurs en ligne. Les comparateurs de mutuelles notamment, comme Hyperassur par exemple, permettent d’obtenir en quelques clics des devis personnalisés au meilleur rapport qualité/prix et en toute impartialité. Il suffit pour cela de renseigner son profil familial et ses besoins en matière de garanties. Plus besoin de contacter un à un les organismes de mutuelle ; utiliser un comparateur de mutuelles chez soi permet de restreindre ses recherches à un nombre limité et pertinent d’assureurs.
Notre conseil : avant de choisir une mutuelle ou de changer de contrat, évaluez votre budget médecines douces annuel. En effet, suivant les besoins de chacun, le surcoût d’une garantie spécifique peut être source d’économies, ou pas.