Tout dépend de la symptomatologie qui a motivé cet examen : coliques salivaires ? Augmentation de volume de la glande ? Maladie générale ? Ces zones hypo-échogènes correspondent à des zones muettes en échographie soit « creuses » et probablement kystiques soit « pleines » et peut-être tumorales mais le plus souvent bénignes.
Le diagnostic est à confirmer soit par une ponction cytologique écho guidée, soit par une IRM qui est actuellement l’examen le plus précis dans les pathologies des glandes salivaires, l’échographie n’étant qu’un examen de débrouillage topographique.